mercredi 28 décembre 2016

La question de la semaine n°8 - Solutions et résultats.

Un grand bravo à Romane et Simon qui ont disputé un match très serré ! Romane remporte deux points et Simon trois points. Je félicite leur assiduité !

Le texte que vous avez pu entendre hier soir est un extrait de Bel-Ami. Ce roman, le second écrit par Maupassant, a d'abord été publié en feuilleton dans le journal Gil Blas puis édité la même année, en 1885, chez l'éditeur Havard.


Première édition de Bel-Ami
chez l'éditeur Havard en 1885. 

Cette œuvre raconte le parcours de Georges Duroy, un jeune Normand sans scrupules venu à Paris pour réussir à tout prix et gravir les échelons de la société ainsi que du pouvoir. Sans talent particulier mais avec un physique de séducteur, cette "graine de gredin", ainsi que l'appelait Maupassant, parvient à se hisser au plus haut niveau, grâce aux femmes qu'il conquiert et qui servent l'une après l'autre son ambition... 


Monsieur Louis Pascal, Henri de Toulouse-Lautrec, 1891.
Ce tableau est souvent utilisé comme première de couverture
de certaines éditions de Bel-Ami.

Gravir les échelons, se hisser au plus haut... la montée des marches décrite dans le texte d'hier, que vous pouvez relire ici dans son intégralité (1), symbolise à ce titre la réussite future de Georges Duroy, et annonce la puissance des apparences qui permettra au personnage d'"arriver". Dans cet extrait, situé au début du roman, Duroy n'a pas encore reçu le surnom de "Bel-Ami", mais il prend conscience de son pouvoir de séduction avant de faire sa première entrée dans le monde, chez Charles Forestier, un journaliste influent dont il épousera plus tard la femme...


Illustration du roman par Ferdinand Bac pour l'éditeur Paul Ollendorff en 1894


Si vous souhaitez écouter d'autres passages de Bel-Ami ou en apprendre davantage sur ce roman, vous pouvez suivre intégralement l'émission d'où provient l'extrait d'hier :





Chaque samedi, sur France Inter, le comédien Guillaume Gallienne anime l'émission "Ça peut pas faire de mal", dans laquelle il lit des extraits d’œuvres littéraires. Je vous en recommande l'écoute régulière (2)...

A l'automne 2015, trois émissions ont été consacrées à Guy de Maupassant. En classe nous écouterons très bientôt d'autres textes extraits de cette trilogie.

A très vite !

(1) La version Open Dyslexic est disponible .
(2) Sans transition : s'il y a des amateurs de la saga Harry Potter, l'émission de samedi dernier (le 24/12/16, donc...) était consacrée au plus célèbre des sorciers à lunettes... 

mardi 27 décembre 2016

La question de la semaine n°8

Noël continue car il y a une guirlande de points à remporter ce soir...

Les questions de la semaine n°8

Cliquez ici pour écouter l'extrait sonore puis répondez aux questions suivantes :


1. Où cette scène se passe-t-elle ? 

2. Qu'est-ce qui étonne et ravit le personnage ?

3. Comment s'appelle le personnage ?

4. De quelle œuvre écrite par Maupassant le texte que vous venez d'entendre est-il extrait ?

5. A quel genre littéraire cette œuvre appartient-elle ?


Indice 1 : L' œuvre a été publiée en feuilleton dans le Gil Blas entre le 06 avril et le 30 mai...

Indice 2 : ... mais de quelle année ?... Relisez donc l'article intitulé "Un réveillon" !

Chaque bonne réponse rapporte un point.

Vous préciserez le numéro de la question à laquelle vous répondez et vous ferez des phrases... 

A tout de suite !

samedi 24 décembre 2016

Un Réveillon...

Contée par un narrateur amateur de chasse et de Normandie, ressemblant à Maupassant, la nouvelle de la semaine s'intitule "Un Réveillon". Cette histoire douce-amère, cocasse autant que macabre, a été publiée le 05 janvier 1882 dans le journal Gil Blas, sous le pseudonyme de Maufrigneuse (1). Vous pouvez accéder à la version Open Dyslexic en cliquant ici.

Fondé en 1879, le Gil Blas est à l'époque un quotidien politique et littéraire qui a du succès. Maupassant y collabore de 1881 à 1891. C'est notamment dans ce journal qu'il fait publier sous forme de feuilletons, c'est-à-dire par extraits quotidiens, ses deux premiers romans : Une Vie (du 27 février au 06 avril 1883) puis Bel-Ami (du 06 avril au 30 mai 1885).

La manchette du Gil Blas du 05 janvier 1882. Source : gallica.bnf.fr

La Bibliothèque Nationale de France a mis en ligne l'intégralité des numéros du Gil Blas. Quelle chance ! Si vous souhaitez feuilleter l'exemplaire du jeudi 05 janvier 1882, connaître les prévisions météorologiques de ce jour ou vous amuser des publicités de l'époque, rendez-vous . La nouvelle de Maupassant figure sur la première page...

Bon "Réveillon" et à mardi, 19h !

(1) Pour connaître l'origine de ce pseudonyme utilisé à de multiples reprises par Maupassant, (re)lisez la solution à la question de la semaine n°6.

vendredi 23 décembre 2016

La question de la semaine n°...

C'est encore Noël car il y a plusieurs points à gagner cette semaine !

Les questions de la semaine n°8

Question 1 : Observez les deux images ci-dessous puis indiquez l'auteur de chaque œuvre.





Question 2 : Quel est le rapport entre Guy de Maupassant et le cinéaste évoqué à la question 1 ?

Question 3 : 

mercredi 21 décembre 2016

La question de la semaine n°7 - Solutions et résultats.

Romane pour les 4A et Simon pour les 4B étaient aux pièces hier... Chacun remporte un point. Bravo à vous deux !

En décembre 1868, dans une lettre adressée à son ami le peintre Frédéric Bazille, Claude Monet trouvait la campagne normande "peut-être plus agréable encore l'hiver que l'été". Le blanc qui recouvre la nature favorise les variations de lumières et multiplie les nuances...

Le premier tableau s'intitule La Charrette. Route sous la neige à Honfleur. Il a été réalisé en 1867 :


Le port normand de Honfleur et ses environs ont toujours attiré les peintres. Le toit que l'on voit à gauche serait celui de la ferme Saint-Siméon, sur les hauteurs de la ville, un lieu très fréquenté par les artistes venus poser leur chevalet en Normandie : cette auberge est parfois surnommée le "berceau de l'impressionnisme". Gustave Courbet, Eugène Boudin, Adolphe Cals ou encore Johan-Barthold Jongkind y venaient régulièrement, parfois accompagnés de leurs amis poètes Charles Baudelaire et Ernest Cabaner.

 La ferme Saint Siméon au-dessus de la baie de Seine,
Eugène Boudin, 1854-1857

Adolphe Cals, Le Déjeuner à Honfleur (Côte-de-Grâce), 1875

C'est à Honfleur, dans la maison de son beau-père, que Charles Baudelaire composa le dernier poème de son recueil Les Fleurs du Mal. Pour le poète, "Honfleur a toujours été le plus cher de [ses] rêves". Le très beau poème "Le Port", dans Le Spleen de Paris, rappelle d'ailleurs certaines toiles de Jongkind ou Boudin.

Eugène Boudin, Navires dans le port à Honfleur, 1856


Le second tableau, daté de 1885, a pour titre Le Givre à Giverny :


Giverny est un petit village normand proche de Vernon. En avril 1883, Claude Monet s'installe, au lieu-dit "Le Pressoir", dans une maison entourée d'un jardin et d'un verger. Le peintre conservera cette demeure jusqu'à la fin de sa vie, transformant sans cesse le jardin et les bassins : c'est là que se trouve la pièce d'eau qui lui inspirera les célèbres nymphéas...

Claude Monet à Giverny, entre 1899 et 1909
  Photographie de Lilla Cabot Perry
L'Entrée de Giverny en hiver, Claude Monet, 1885

A très bientôt !

mardi 20 décembre 2016

La question de la semaine n°7

C'est l'hiver demain ! Cette saison a beaucoup inspiré le peintre impressionniste Claude Monet lorsqu'il était en Normandie...

La question de la semaine n°7

Reconstituez le puzzle attribué à votre classe puis indiquez le titre du tableau qu'il représente.

Pour les élèves de 4A :
Indice pour trouver le titre du puzzle 1 : Elle roule au milieu de la route !

Pour les élèves de 4B :

Indice pour trouver le titre du puzzle 2 : Ce paysage, recouvert de givre, a été peint non loin de Giverny.
 
Pour être acceptée, votre réponse devra indiquer clairement à quel puzzle le titre correspond et le titre devra être donné intégralement

Bonnes recherches et à tout de suite !

dimanche 18 décembre 2016

"Un souvenir de Noël ?

...Un souvenir de Noël ?...
Et tout à coup il s'écria : 
Mais si, j'en ai un, et un bien étrange encore ; c'est une histoire fantastique. J'ai vu un miracle ! Oui, Mesdames, un miracle, la nuit de Noël."
Si vous voulez découvrir à quel miracle le docteur Bonenfant a assisté, venez lire ce "Conte de Noël" (cliquez ici pour la version OpenDyslexic)...

Publié le 25 décembre 1882 dans le journal Le Gaulois puis en novembre 1883 dans le recueil Clair de Lune, ce texte nous entraîne dans la campagne normande paralysée par la neige. Il se passe d'étranges choses chez le forgeron Vatinel...



Claude Monet, La Pie.
Cette toile a été peinte aux alentours d'Etretat en 1868-1869.

La nouvelle se termine par un miracle dans la petite église du village. C'est un dénouement pour le moins étonnant de la part de Maupassant, qui montra toute sa vie de la méfiance à l'égard de la religion et de ses représentants.

Sans doute cette histoire est-elle à prendre au second degré. Comme son titre l'indique, il s'agit là d'un "conte" où la magie est donc permise, et puis le docteur de l'histoire s'appelle Bonenfant, patronyme quelque peu péjoratif quand on sait que la locution "bon enfant" signifie "simple et naïf"...

Ce qui est certain en tout cas, c'est qu'on trouve dans ce texte le thème de la folie, un sujet cher à Maupassant et qui n'est pas sans lien avec son histoire personnelle...

Bonne lecture, et à mardi, 19h, pour le jeu de la semaine ! 

mercredi 14 décembre 2016

La question de la semaine n°6 - Solution et résultat.

Lou a été la plus rapide cette semaine : bravo !

Tous ces noms sont les pseudonymes utilisés par Maupassant pour signer ses textes au début de sa carrière d'écrivain. La plupart sont des références à des œuvres littéraires. 

Caricature de Maupassant par Coll-Toc pour la revue Les Hommes d'aujourd'hui, 1885.

Joseph Prunier : Il s'agit du surnom donné à Maupassant par ses amis Léon Fontaine et Robert Pinchon, avec lesquels il aimait faire du canot aux alentours d'Etretat. C'est avec ce nom qu'il signa sa première et effrayante nouvelle, "La Main d'écorché", dont il a déjà été question sur le blog et que vous pouvez toujours lire ici.

Selon le spécialiste Louis Forestier, ce surnom moqueur serait la contraction de "Joseph Prudhomme" et "Henry Monnier". Au milieu du 19e siècle, l'illustrateur et dramaturge Henry Monnier avait créé un personnage niais, mercantile et prétentieux nommé "Joseph Prudhomme"... Ce bonhomme satisfait est le modèle même de la bêtise dont aimait à rire Maupassant (1)...

Joseph Prudhomme représenté par Henry Monnier

Maufrigneuse : Maupassant utilisa ce nom pour les contes qu'il publia à partir de 1881 dans le journal Gil Blas, car il signait déjà sous son vrai nom dans Le Gaulois, auquel il collaborait depuis plus longtemps. C'est ce pseudonyme qu'il prit ainsi pour la nouvelle "Toine" que j'ai mise en ligne vendredi dernier.

La duchesse de Maufrigneuse, illustration pour La Comédie Humaine d'Honoré de Balzac

Ce nom fait référence à l'une des héroïnes inventées par le romancier Honoré de Balzac que Maupassant admirait. Il s'agit de Diane d'Uxelles, duchesse de Maufrigneuse, une redoutable et puissante séductrice. Doit-on y voir un reflet féminin de notre auteur ?

Guy de Valmont : Plusieurs hypothèses ont été avancées pour expliquer ce pseudonyme que Maupassant utilisa notamment pour signer sa nouvelle "Sur l'Eau". Ce nom pourrait tirer son origine de Valmont, un petit village normand près d'Yvetot. Valmont est aussi le nom d'un des personnages principaux du livre Les Liaisons dangereuses de Choderlos de Laclos. C'est un roman que Maupassant appréciait.

Chaudrons du Diable : Ce nom peu... amène est celui d'un lieu-dit sous les falaises d'Etretat... Maupassant l'a utilisé pour signer, en 1880 dans le journal Le Gaulois, une chronique sur cette ville.

Nous ne parlerons pas, bien sûr, des petits surnoms donnés par les proches (2)...

A bientôt !

(1) Pour le plaisir, voici un petit florilège des groooosses âneries que Monnier fait dire à Monsieur Prudhomme : "C'est mon avis et je le partage."; "Un soldat doit être prêt à mourir pour sa patrie. Même au prix de sa vie." ou encore "Nous attendons du monde, tu mettras tes bijoux, tes bracelets. Quand on est riche, il faut le montrer". On n'est pas loin, je trouve, des réparties absurdes qui nous avaient fait rire l'an dernier dans On purge Bébé ! de Feydeau. Qu'en pensez-vous ?
 
(2) Si, on en parle ?  Sa maman le surnommait son "poulain échappé". En fait, son entourage a eu tendance à l'identifier à un animal. Ses amis voyaient en lui un taureau. Pour Gustave Flaubert, c'était un "petit taureau breton"; pour le philosophe Hippolyte Taine un "taureau triste". A Fécamp, sa grand-mère l'appelait son "rat de quai"... Ses ennemis - dont Jean Lorrain, l'ancien ami d'enfance - l'assimilèrent à un étalon.

mardi 13 décembre 2016

La question de la semaine n°6

Cette semaine, il y a un seul et unique point à remporter... Qui parmi vous sera le plus efficace ?

La question de la semaine n°6

Qui sont Joseph Prunier, Maufrigneuse, Guy de Valmont et Chaudrons du Diable ?

Pas d'indice : une recherche Internet bien menée doit suffire...

J'attends une explication claire et précise, dans un français le plus correct possible (oui, ça signifie majuscule et point, verbe conjugué et accords respectés...).

A tout de suite !

Le livre de la semaine #9

A propos de philosophes et philosophie, partez à la découverte de la collection Phil'Art ! Cette semaine, intéressons-nous au volume sur l'imaginaire :






Ce documentaire est à retrouver dans le rayon philosophie du CDI, cote 153.3

vendredi 9 décembre 2016

A découvrir, à parcourir, à dévorer...

Le mois dernier, j'ai publié sur ce blog les textes que vous aviez rédigés au sujet des thèmes fréquemment abordés par Maupassant. 

Vous aurez l'occasion de découvrir, au fil de vos futures lectures - cette année ou plus tard - d'autres sujets chers à notre écrivain normand. Dans ses œuvres, Maupassant évoqua souvent la guerre franco-prussienne de 1870 ; l'eau (la Seine, la Manche ou la Méditerranée) ; la vie des employés des ministères parisiens où il travailla lui-même ou encore la folie qui le toucha personnellement ainsi que son petit frère Hervé.

Une vision sombre de la vie se dégage de tous ces thèmes. Ce pessimisme a en partie été influencé par Arthur Schopenhauer (1788-1860), un penseur allemand que Maupassant admirait. Pour Schopenhauer, le bonheur n'est qu'une illusion et les plaisirs ne sont qu'éphémères. Les  hommes sont condamnés à souffrir car leurs désirs sont toujours déçus. Le philosophe nous conseille de nous détacher de tout désir et de toute volonté.


Arthur Schopenhauer, photographie de Jacob Seib, 1852.

Repensez à Ambroise dans "Le Masque" ; à Mathilde Loisel dans "La Parure"... Ces personnages insatisfaits et malheureux, courant après des désirs qu'ils n'assouviront jamais, semblent des illustrations parfaites des idées de Schopenhauer.

Maupassant rendit hommage au célèbre philosophe dans une nouvelle de 1883 intitulée "Auprès d'un mort" et cultiva auprès de certaines de ses connaissances une attitude détachée et indifférente, apparemment dépouillée de tout désir. Un contemporain, Georges Porto-Riche, le décrivit ainsi : "Tous les hommes et toutes les choses doivent avoir la même importance ou la même insignifiance à ses yeux. [...] Si on le jalouse, lui ne jalouse personne. [...] Il n'appartient à aucune coterie, il n'est d'aucune bande. [...] Ce qui l'intéresse, c'est la nature. [...] Pour les champs, les bois, les rivières, cet insensible a du cœur."

Néanmoins, d'autres témoignages nous peignent un Maupassant jovial et farceur, amateur de canulars et toujours fidèle à ses amis. Cette facette plus joyeuse et plus comique transparaît dans certains de ses textes. 

Pour vous permettre d'approfondir votre connaissance de l’œuvre de Maupassant, dans ses aspects sombres mais aussi légers, je posterai sur ce blog, le plus régulièrement possible, certaines de ses nouvelles. Tantôt enjouées et comiques, tantôt pathétiques voire tragiques, ces textes auront tous la Normandie pour point commun.

Nous commençons cette semaine avec la lecture de l'amusante "Toine". 

A découvrir, à parcourir, à dévorer, donc...

N.B. : Pour les élèves dyslexiques, la version Open Dyslexic est disponible en cliquant ici.

mercredi 7 décembre 2016

La question de la semaine n°5 - Solutions et résultats.

Bien joué, Youna et Simon : vous remportez chacun un point !

Ce tableau figurait déjà dans l'article de Mme Brousté du 30 septembre. Il s'intitule Impression, soleil levant : il a été peint par Claude Monet en 1872 ou 1873. 

Il s'agit d'une vue du port du Havre que le peintre avait observée un matin depuis sa fenêtre. Il voulait faire un paysage en tenant compte de son impression et de l'atmosphère, plutôt qu'un tableau très précis. C'est ce qui explique le titre ainsi que l'omniprésence de la brume qui rend flous les contours : on devine seulement, à l'arrière-plan, le port normand avec ses mâts, ses grues et ses cheminées d'usine.


En avril 1874, cette toile est visible à l'exposition de la "Société anonyme des artistes peintres, sculpteurs et graveurs". Louis Leroy, critique d'art, dit alors avec ironie : "Impression, j'en étais sûr, je me disais aussi, puisque je suis impressionné, il doit y avoir de l'impression là-dedans." Par la suite, il rédige, pour le journal Charivari, un article intitulé "L'exposition des Impressionnistes". Cherchant à faire un jeu de mots moqueur à partir de cette mauvaise impression qu'il a eue, Louis Leroy a donné sans le vouloir son nom à cette nouvelle façon de peindre...

A très bientôt !

mardi 6 décembre 2016

La question de la semaine n°5

A l'occasion des quatre-vingt-dix ans de la mort de Claude Monet, décédé le 5 décembre 1926, votre recherche cette semaine portera sur l'une de ses toiles les plus célèbres.

Tous à vos claviers : il y a deux points à remporter ! 

Les questions de la semaine n°5

1. De quel tableau impressionniste très célèbre l'image ci-dessous est-elle un détail ?
2. Quelle ville normande y est représentée ?


Indice n°1 : Lors d'une exposition d'avril 1874, ce tableau de Claude Monet fit ... forte impression !

Indice n°2 : Ce tableau est désormais exposé au musée Marmottan qui présente en ligne sa collection de toiles de Monet...

Vous répondrez en faisant une phrase... Les commentaires modifiés ne seront pas comptés.

La publication de cet article a été programmée, car j'assiste actuellement à un conseil de classe : je vous répondrai dès que possible. A tout à l'heure !

Le livre de la semaine... #8

... Est une revue !
A partir du numéro 121 du magazine Virgule, retrouve l'adaptation en bande dessinée du Horla par l'illustrateur Guillaume Sorel.