mercredi 30 novembre 2016

La question de la semaine n°4 - Solution et résultat.

Romane remporte le point de la semaine, bravo !

Ces deux descriptions d'automne (Maupassant aurait pu les écrire ce mois-ci, vous ne trouvez pas ?) étaient l'occasion de vous parler de son avant-dernier roman Fort comme la Mort


Paru en 1889, ce récit relate les dernières années d'un peintre parisien en vogue, Olivier Bertin. Dans l'extrait d'hier, proche du dénouement, le personnage déambule dans les rues de la capitale, désœuvré et anéanti. Il ne peut s'empêcher d'aimer Annette de Guilleroy, la fille de sa maîtresse : il retrouve en elle la beauté et la jeunesse qu'il avait connues et aimées chez sa mère, désormais âgée. Le choix de l'automne comme cadre à ce passage n'est pas un hasard...


Peu question de Normandie dans cet ouvrage (j'espère que vous me pardonnerez ce petit écart à la règle !) mais on y retrouve développés les thèmes chers à Maupassant qui ont été évoqués toute la semaine sur ce blog : le temps qui passe, le vieillissement, le déclin ainsi que la puissance et l'impossibilité de l'amour. Fort comme la Mort est, pour utiliser un terme que vous maitrisez bien désormais, un roman "tragique".

A la semaine prochaine (mardi, 19 h pétantes !) pour une nouvelle question...

mardi 29 novembre 2016

La question de la semaine n°4

Lisez ces descriptions extraites d'un roman de Guy de Maupassant puis répondez à la question posée :
"Dès qu’il eut mis le pied dehors, un froid vif le saisit, ce premier froid crispant de la première gelée qui détruit, en une seule nuit, les derniers restes de l’été.
Tout le long des boulevards, c’était une pluie épaisse de larges feuilles jaunes qui tombaient avec un bruit sec et menu. Elles tombaient, à perte de vue, d’un bout à l’autre des larges avenues entre les façades des maisons, comme si toutes les tiges venaient d’être séparées des branches par le tranchant d’une fine lame de glace. Les chaussées et les trottoirs en étaient déjà couverts, ressemblaient, pour quelques heures, aux allées des forêts au début de l’hiver. Tout ce feuillage mort crépitait sous les pas et s’amassait, par moments, en vagues légères, sous les poussées du vent.
C’était un de ces jours de transition qui sont la fin d’une saison et le commencement d’une autre, qui ont une saveur ou une tristesse spéciale, tristesse d’agonie ou saveur de sève qui renaît.
[...]
Et il se retrouva bientôt sur le boulevard couvert de feuilles mortes. Elles ne tombaient plus, les dernières ayant été détachées par une longue rafale. Leur tapis rouge et jaune frémissait, remuait, ondulait d’un trottoir à l’autre sous les poussées plus vives de la brise grandissante.
Tout à coup une sorte de mugissement glissa sur les toits, ce cri de bête de la tempête qui passe, et, en même temps, un souffle furieux de vent qui semblait venir de la Madeleine s’engouffra dans le boulevard.
Les feuilles, toutes les feuilles tombées qui paraissaient l’attendre, se soulevaient à son approche. Elles couraient devant lui, s’amassant et tourbillonnant, s’enlevant en spirales jusqu’au faîte des maisons. Il les chassait comme un troupeau, un troupeau fou qui s’envolait, qui s’en allait, fuyant vers les barrières de Paris, vers le ciel libre de la banlieue. Et quand le gros nuage de feuilles et de poussière eut disparu sur les hauteurs du quartier Malesherbes, les chaussées et les trottoirs demeurèrent nus, étrangement propres et balayés.
Bertin songeait : « Que vais-je devenir ? Que vais-je faire ? où vais-je aller ? » Et il retournait chez lui, ne pouvant rien imaginer.
Un kiosque à journaux attira son œil. Il en acheta sept ou huit, espérant qu’il y trouverait à lire peut-être pendant une heure ou deux."
La question de la semaine n°4

 Dans quel roman ces deux descriptions apparaissent-elles ?

Indice : Le nom du personnage principal de ce roman est donné dans l'extrait : cela devrait guider vos recherches sur Internet...

Vous répondrez en faisant une phrase verbale que vous ponctuerez...

A tout de suite !

Le thème de l'amour dans les nouvelles de Maupassant

Dans ses nouvelles, Maupassant évoque différentes formes d'amour.

    Il y a d'abord l'amour maternel, dans "Aux Champs" et "L'Abandonné". Cet amour est souvent synonyme de sacrifice.
    Dans "Aux Champs", la mère Tuvache aime son fils et refuse de le vendre. En revanche, l'autre mère, la mère Vallin, accepte de se séparer de son fils, mais c'est pour qu'il mène par la suite une belle vie, comme le confirme son apparition à la fin du récit : "Il [Charlot Tuvache] prenait vingt et un ans quand un matin, une brillante voiture s'arrêta devant les deux chaumières. Un jeune monsieur [il s'agit du fils Vallin qui a été vendu] avec une chaîne en or descendit, donnant la main à une vieille dame en cheveux blancs.
     Dans "L'Abandonné", Mme de Cadour souhaite revoir son fils qui lui manque terriblement : "Que de fois, depuis quarante ans, elle avait voulu partir pour le voir, pour l'embrasser." Elle a dû abandonner son fils, puisqu'il était né d'une liaison avec M. d'Apreval, qui n'est pas son mari. 

     Maupassant parle aussi des couples dans ses nouvelles et l'image qu'il donne de leur amour est souvent négative.
      La nouvelle "Le Modèle" présente un amour qui ne dure pas entre Jean Summer et Joséphine. La rupture imposée par le peintre pousse la jeune femme à sauter d'une fenêtre : "Elle le regarda une seconde, d'un œil fixe, terrible, affolé ; puis, prenant son élan comme pour sauter une haie dans les champs, elle passa devant moi, devant lui, franchit la balustrade et disparut."
      Dans "L'Abandonné", l'amour sincère entre M. d'Apreval et Mme Cadour est condamné à rester secret et impossible, car tous les deux sont déjà mariés à une autre personne : "On l'avait mariée, comme on marie les jeunes filles. Elle ne connaissait guère son fiancé, un diplomate, et elle vécut avec lui, plus tard, de la vie de toutes les femmes du monde. Mais voilà qu'un jeune homme, M. d'Apreval, marié comme elle, l'aima d'une passion profonde ; et pendant une longue absence de M. de Cadour, parti aux Indes en mission politique, elle succomba. [...] Comme elle se rappelait tous les détails maintenant, ses baisers, ses sourires, son arrêt sur la porte pour la regarder en entrant chez elle. Quels jours heureux, ses seuls beaux jours, si vite finis !"
     Le conte "Adieu" parle de l'amour de Pierre Carnier pour Julie Lefèvre : "Je fus bientôt pincé comme je ne l'avais jamais été. Elle me ravageait le cœur." Néanmoins cet amour ne peut pas exister, car Pierre Carnier part à l’étranger au bout de trois mois : "... je partis pour l'Amérique, le cœur tournoyé de désespoir. Mais sa pensée demeura en moi persistante et triomphante."
     Enfin, dans "Le Masque", Denise aime éperdument Ambroise. Elle le laisse à son plaisir de séduire d'autres femmes sans jamais l'abandonner, malgré sa propre souffrance : "Il m'a emmenée ce soir-là; et je ne l'ai plus quitté, jamais, pas un jour, malgré tout ! Oh ! Il m'en a fait voir de dures !"

     Dans les nouvelles de Maupassant, l'amour est la plupart du temps cruel car il est impossible, ignoré ou parce qu'il pousse les personnages à faire de mauvais choix.
      
Léa B., Célia D., Léa D., Louise R.

Le livre de la semaine #7

En lien avec l'article sur le thème de l'argent dans les nouvelles de Maupassant, retrouvez cette semaine La dot dans le recueil Quatre nouvelles réalistes sur l'argent. L'occasion de découvrir aussi des nouvelles d'Alfred de Musset, Prosper Mérimée et Auguste de Villiers de L'Isle Adam.

lundi 28 novembre 2016

Le thème du remords dans les nouvelles de Maupassant

Les nouvelles qui parlent du remords sont "Aux Champs", "La Parure", "L'Abandonné" et "Le Petit Fût".

Dans "Aux Champs", le remords est ressenti par les Tuvache qui auraient pu vendre leur fils Charlot et avoir une vie meilleure. Dans "L'Abandonné" aussi, le remords est celui de Mme de Cadour qui regrette l'abandon de son fils, dans lequel elle ne se reconnaît pas quarante ans plus tard.

Dans "La Parure", le remords pour les personnages est d'avoir travaillé pendant dix ans pour rembourser une parure qui ne valait pas très cher.

Dans "Le Petit Fût", Chicot regrette d'avoir conclu le viager avec la mère Magloire, car elle ne meurt pas et il doit payer chaque mois sans avoir la ferme.

Justine C., Océane F., Nathan L.

dimanche 27 novembre 2016

Le thème des femmes dans les nouvelles de Maupassant.

Les femmes sont omniprésentes dans la plupart des nouvelles de Maupassant.

Dans "Aux Champs" et "L'Abandonné", c'est le côté maternel et protecteur des femmes qui est mis en avant. Dans la première nouvelle, les deux mères veulent le meilleur pour leur fils, mais de façon différente : madame Tuvache veut à tout prix garder son enfant auprès d'elle, tandis que madame Vallin souhaite que son fils ait une belle vie et une bonne éducation en allant vivre chez les d'Hubières. Dans "L'Abandonné", madame de Cadour a abandonné son fils pour lui éviter le déshonneur, car il est né de sa liaison avec son amant.

Dans la nouvelle "Le Masque" se dégage du personnage de Denise une image aimante et attentionnée : elle a dévoué sa vie à son mari.

Les autres nouvelles donnent à voir une image plus négative : dans "Le Modèle", la jeune femme est présentée comme excessive et elle tente de se tuer par passion pour Jean Summer. Dans "La Parure", Mathilde Loisel est une insatisfaite, envieuse d'une vie différente de la sienne. Enfin, "Adieu" insiste sur le changement physique des femmes : le narrateur n'arrive pas à reconnaître celle qu'il a aimée quelques années auparavant.

Sullivan G., Romane L. , Youna S.-L.

samedi 26 novembre 2016

Le thème de l'argent dans les nouvelles de Maupassant.

"La Parure" parle d'argent, Mathilde Loisel regrette de ne pas avoir épousé un homme plus fortuné : "Elle souffrait de la pauvreté de son logement, de la misère des murs, de l'usure des sièges et de la laideur des étoffes". 

Le conte "Aux Champs" évoque aussi ce thème, quand les Vallin décident de vendre leur enfant après avoir négocié le prix : "Cent francs par mois c'est point suffisant pour nous priver du p'tit ; ça travaillera dans quéqu'z'ans ct'éfant ; i nous faut cent vingt francs."

"Le Petit Fût" parle d'argent quand le viager est négocié : "J'vous donne, chaque mois, cent cinquante francs."

Dans toutes les nouvelles où il en est question, l'argent provoque de la souffrance (les Loisel se ruinent pour rembourser le collier) et de la cruauté : les Tuvache jalousent les Vallin ; maître Chicot provoque la mort de la mère Magloire.

Pauline B., Alyson P.; Alexandra R.

vendredi 25 novembre 2016

Le thème des mères dans les nouvelles de Maupassant.

Les personnages des nouvelles de Maupassant sont souvent des mères et ce qui se passe pour elles est cruel.

Dans la nouvelle "Aux Champs", les Vallin vendent leur enfant, Jean, pour que celui-ci ait une vie plus confortable aux côtés de M. et Mme d'Hubières. La mère Tuvache a fait le choix de garder son fils Charlot, et pense avoir fait pour le mieux. Cependant, quand Charlot voit ce qu'est devenu Jean vingt ans plus tard, il en est jaloux et reproche à ses parents de ne pas l'avoir vendu. A la fin de la nouvelle, le mère Tuvache voit son fils Charlot partir pour ne plus revenir.

Pour finir, dans la  nouvelle "L'Abandonné", madame de Cadour et son amant monsieur d'Apreval ont un fils. Le problème est que madame de Cadour a un mari, elle ne peut donc pas garder l'enfant et doit l'abandonner. Elle ne le revoit que quarante années plus tard, lors de vacances à Fécamp, et souffre de voir ce qu'il est devenu : un paysan qui lui est totalement étranger.

Lolita B., Déborah R., Maëvane S.-E.

jeudi 24 novembre 2016

Le livre de la semaine #6

Le livre de la semaine est... Un magazine !

Le Petit Léonard n°26 consacre un dossier au peintre Claude Monet ; un dossier à retrouver au CDI !



Le thème du temps qui passe dans les nouvelles de Maupassant.

Les nouvelles qui comportent le thème du temps qui passe sont "Adieu", "L'Abandonné", "Aux Champs", "La Parure", "Le Petit Fût", "Le Masque", "Coco" et "Le Modèle".

- "Adieu", "L'Abandonné" et "Aux Champs" se ressemblent car le thème du temps qui passe est lié à une longue séparation ou à un abandon. Les personnages constatent avec douleur leurs changements après ne s'être pas vus longtemps.

- "La Parure" parle du temps perdu : Mathilde Loisel a perdu dix ans de sa vie à rembourser un collier de pacotille.

- Dans "Coco" et "Le Petit Fût", le temps qui passe paraît long pour un personnage, qui finira par commettre un crime : Isidore Duval fait mourir Coco pour ne plus avoir à s'occuper de lui ; Maître Chicot provoque la mort de la mère Magloire pour mettre fin au viager.

- Dans "Le Masque", le temps qui passe est celui qu'on aimerait faire revenir pour revivre notre jeunesse.

- Enfin, dans "Le Modèle", le temps qui passe est synonyme d'amour qui meurt.

Albanne D., Lou G., Méléna T.

mercredi 23 novembre 2016

Les thèmes des nouvelles de Maupassant...

Il n'y a pas que Monet qui a travaillé en série ! D'une nouvelle à l'autre, Maupassant lui aussi a aimé aborder les mêmes thèmes...

Voici donc un point commun entre nos deux artistes normands : représenter un même sujet sous des angles et des points de vue différents.

A partir de demain, et une fois par jour, je publierai donc sur ce blog vos textes sur les thématiques chères à Maupassant dans les nouvelles que nous avons lues.

A bientôt !

mardi 22 novembre 2016

La question de la semaine n°3 - Solutions et résultats.

Un grand, grand bravo à Nathan qui a trouvé les réponses de chaque question et remporte donc 3 points ! Le retard de la question est dû à un dysfonctionnement du blog, qui, je l'espère, ne se reproduira pas.

Le tableau s'intitule Meule et a été réalisé par Claude Monet en 1890-1891 près de sa maison de Giverny, dans le département normand de l'Eure. On devine la signature de l'artiste en bas à gauche du tableau :


Claude Monet (1840-1926) est un l'un des fondateurs de l'impressionnisme. Sensible aux variations de la lumière sur les paysages, cet artiste s'est consacré, dès le début des années 1890, à peindre plusieurs fois les mêmes motifs à des saisons, des heures et parfois depuis des points de vue différents : c'est ce qu'on a appelé des "séries".

L’œuvre vendue la semaine dernière fait partie de la toute première série réalisée par Monet : il s'agit d'un ensemble de vingt-cinq tableaux représentant des meules de foin. Les nuances bleues, mauves et orange du tableau suggèrent une lumière crépusculaire : c'est le soir sur la Normandie...

Pour comparer et vous rendre compte des variations de teintes au sein d'une même série, voici quelques autres toiles de cet ensemble :

Meule, fin de l'été.
Meule au soleil, midi
Meule, effet de neige, le matin.

Après cette première tentative, Monet se lancera dans d'autres séries qui resteront très célèbres, notamment les Cathédrales de Rouen et les Nymphéas...  toutes les deux réalisées en Normandie ! Et oui, on y revient toujours...

A demain pour parler d'autres séries et à la semaine prochaine pour une nouvelle question !

lundi 21 novembre 2016

La question de la semaine n°3

C'est parti !

La question de la semaine est en fait trois questions, avec un point à remporter pour chaque bonne réponse.

Les questions de la semaine n°3

Mercredi dernier, à New-York, un tableau impressionniste peint en Normandie a été vendu aux enchères pour la somme record de 81,4 millions de dollars...

1. Quel est le titre de ce tableau ?
2. Qui est le peintre de ce tableau ?
3. Près de quel village normand ce tableau a-t-il été peint ?

Vous préciserez le numéro de la question à laquelle vous répondez. Je vous rappelle que je n'accepte pas les commentaires modifiés : seul le premier jet compte et ce peut être un seul mot... Ça peut donc aller très vite !

Google actualités vous aidera... Qui sera le plus efficace dans sa recherche ?

A tout de suite !

dimanche 20 novembre 2016

La question de la semaine : information importante...

L'une d'entre vous vient de m'avertir de votre sortie au théâtre ce mardi à 19h15 dans le cadre du dispositif "Collège en scène". Cet horaire vous laisse peu de temps pour répondre à la question de la semaine...

Exceptionnellement, j'ai programmé le jeu demain soir, lundi, à 19h. Cependant, je serai en réunion à cette heure et ne pourrai donc pas vous répondre dans la foulée : il faudra attendre un peu pour connaître les résultats... Par ailleurs, comme je ne saurai pas la chronologie de vos réponses, je n'accepterai pas les commentaires modifiés : seul votre premier commentaire comptera pour gagner.

La semaine suivante nous reviendrons, je l'espère, aux horaires normaux...

Bon spectacle à tous - vous me raconterez -  et un grand merci à Louise ! ... 😉

A demain !

jeudi 17 novembre 2016

Le livre de la semaine #5

Cette semaine, rendez-vous en Normandie !

4 Nouvelles normandes de Guy de Maupassant, édité chez Nathan, regroupe Le rosier de Mme Husson, Le père Milon, La ficelle et Histoire d'une fille de ferme.


mardi 15 novembre 2016

La question de la semaine n°2 - Solution et résultat.

Bien joué Sullivan : tu remportes le point de la semaine. J'adresse un grand bravo à tous les élèves qui ont osé tenter leur chance !

Revenons à la question posée : vous conviendrez qu'il est plus pratique de transporter un petit tube métallique que des vessies de porc...

Parmi les autres innovations techniques du milieu du 19e siècle, on compte l'apparition de bagues métalliques (appelées des "viroles") qui permettent de fixer les poils sur les pinceaux. Les pinceaux virolés, plus résistants que ceux dont les poils étaient liés par un simple fil, permirent aux impressionnistes d'appliquer les couleurs en touches plus énergiques sur la toile...
Pour finir, un petit coup de pub : abonnez-vous à la newsletter "Artips", souvent amusante et toujours synthétique... C'est un bon moyen pour apprendre au quotidien petites et grandes anecdotes liées au monde des arts plastiques...

A très bientôt !

La question de la semaine n°2

Prêts ?

La question de la semaine n°2

On a regroupé sous le nom d'"impressionnistes" certains peintres de la seconde moitié du 19e siècle. Les tableaux de ces artistes présentaient en effet des points communs : goût prononcé pour les mêmes thèmes et ressemblances dans la manière de peindre.

Parmi les sujets favoris de ces peintres, on trouve de nombreux paysages : les impressionnistes aimaient représenter les changements de lumière qui modifient l'aspect d'un même endroit. Ils restaient parfois de longues heures dehors et ne travaillaient pas toujours dans leurs ateliers. Cette façon de créer nécessitait donc un matériel pratique et léger...

Cliquez sur ce lien, lisez le texte puis répondez à cette question : quel progrès technique a permis aux impressionnistes de peindre de longues heures dehors ? 

Ne prenez pas des vessies pour des lanternes et lisez l'article jusqu'au bout...

A tout de suite !

lundi 14 novembre 2016

La question de la semaine : information importante.

A compter de cette semaine, et si cet horaire convient au plus grand nombre, la question de la semaine sera postée sur ce blog le mardi à 19h.

Rendez-vous dès demain soir pour tenter de gagner un point !

jeudi 10 novembre 2016

La question de la semaine n°1 - Solution et résultat

Bravo aux participants d'hier et félicitations à Adèle qui a remporté un premier point !

La vidéo était un extrait de l'adaptation de la nouvelle "Aux Champs", parue dans le recueil Contes de la Bécasse, en 1883. Cette adaptation a été réalisée en 2008 pour la série de France 2 intitulée Chez Maupassant. Dans l'extrait proposé, on voit une scène rajoutée par le réalisateur, Olivier Schatzky : la mère Tuvache invective les Vallin qui viennent de vendre leur enfant. Maupassant, plus sobre, avait préféré laisser les Tuvache "sur leur porte [...], muets, sévères, regrettant peut-être leur refus...". Les silences sont parfois aussi expressifs que les mots...

La série "Chez Maupassant" comprend trois saisons. Parmi les films de cette série, je vous conseille de regarder les deux adaptations réalisées par le grand Claude Chabrol : La Parure (2007) et Le Petit Fût (2008). C'est grinçant, savoureux, et il s'agit de deux textes que vous connaissez...



Pour remporter le prochain point, rendez-vous la semaine prochaine. Nous allons trouver un autre horaire pour permettre au plus grand nombre de jouer ! Venez nombreux et tentez votre chance, même s'il y a des erreurs...

mercredi 9 novembre 2016

La question de la semaine n°1

Pour cette première question, on va commencer en douceur...

La question de la semaine n°1


Visionnez cet extrait de l'adaptation d'une nouvelle de Maupassant que nous avons lue ensemble.
Quel est le titre de cette nouvelle et dans quel recueil a-t-elle été publiée ?
(Attention, j'ai bien demandé un titre de recueil, pas de revue...)

Si vous ne parvenez pas à lire cette vidéo sur le blog, cliquez ici.

C'est très facile ! Vous répondrez dans les commentaires en faisant une phrase verbale et n'oublierez pas d'indiquer vos prénom et nom...

A tout de suite !

lundi 7 novembre 2016

L'heure du premier bilan

Nous arrivons au terme de notre première période sur Guy de Maupassant et ses nouvelles réalistes : je posterai d'ici peu vos travaux concernant les thèmes communs aux différentes nouvelles que nous avons lues.

Néanmoins, comme je l'ai déjà mentionné à plusieurs reprises dans ce blog, nous reparlerons de cet écrivain au début de l'année prochaine, pour aborder un autre registre de son œuvre : les nouvelles fantastiques...

C'est pourquoi, afin de cultiver vos connaissances acquises, je posterai sur ce blog, chaque mercredi soir à 19h, une question en lien avec Maupassant, la Normandie ou les peintres impressionnistes dont Mme Boulay vous parlera très bientôt ! 

Nous commencerons dès cette semaine : j'espère que vous serez nombreux à participer, en laissant une réponse signée dans les commentaires. 

Votre assiduité et la justesse de vos réponses seront récompensées tôt ou tard...

Le livre de la semaine #4

Cette semaine, partons à la découverte d'un documentaire du CDI : L'impressionnisme de Jean Clay, un gros recueil d'oeuvres de ce courant.